Comme pour l « après Charlie », les musulmans à travers le monde payent le prix d’une ignorance profonde due aux amalgames aussi abominables que la barbarie qui les engendrent.
« Tu te rappelles de Paris ? Enculé de musulman ! »
Il y a quelques jours, un jeune homme de 21 ans s’est fait agresser aux abords d’une station essence dans la ville d’Oslo, en Norvège. Son agresseur s’est d’abord approché de lui en lui demandant s’il était musulman, puis a sorti un couteau de sa poche. Complètement surpris, le jeune musulman s’est alors fait sauvagement poignarder par l’agresseur qui l’a ensuite agrippé pour lui dire : « Tu te rappelles de Paris ? Enculé de musulman ! »
« Je pensais que j’allais mourir »
Après son agression, le jeune homme s’est retrouvé seul et laissé pour mort. Tant bien que mal, ce dernier a réussi à contacter les services de police et a ensuite été transporté à l’hôpital en urgence. Encore sous le choc, la victime grièvement blessée a déclaré :
« J’étais seul, je pensais que j’allais mourir. Je regardais mes vêtements, ma veste en cuir, mon pantalon, tout était couvert de sang. »
A ce jour, une enquête est en cours mais l’agresseur n’a pas encore été identifié. Ervin Kohn, directeur du « Centre Norvégien contre le Racisme » a indiqué à ce sujet que « plusieurs musulmans ont déjà subi des agressions depuis le 13 novembre. » Un constat qui s’intensifie de jour en jour et qui compte de nombreux musulmans innocents et victimes d’attentats dont ils payent aujourd’hui le prix, injustement.
2 commentaires
La réalité de cette haine n’est pas d’origine attentat ou pas c’est une haine profond qui n’a rien en avoir avec cette attentat elle est une prétexte la haine raciste est et a toujour étais
Y’a des tarés partout… C’est faire le jeu de la haine que de relayer ces infos (et les faits divers en général) qui sont le fait d’un détraqué isolé (cela peut avoir des conséquences énormes si on monte ça en épingle)
Faits divers = Fais diversion
On nous sert ça sur un plateau tous les matins entre les pages sports pour pas qu’on ai le temps de penser.