Rachid Nekkaz n’est plus à présenter. Après s’être fait remarquer en France, il a choisi l’Algérie, pays où il ne semble pas être le bienvenu depuis son arrivée en politique.
Un accueil pas comme les autres
Ce cher Nekkaz (Mouvement pour la Jeunesse et le Changement) est en pleine campagne de soulèvement national. Il organise le 28 novembre prochain une marche pacifique jusqu’à Alger dans l’objectif d’un « changement pacifique en Algérie ». Ainsi, il parcourt de nombreuses villes du pays dont Seddouk où un accueil particulier lui a été réservé. A son arrivée, le 13 novembre dernier, il a été attendu par le commissaire de police qui s’est empressé de l’embarquer avec comme motif : trouble à l’ordre public. Il déclare sur sa page Facebook :
Nous avons été accueillis dans la ville par le commissaire de police qui nous a mis immédiatement en état d’arrestation devant la population en plein centre-ville.
Mettre fin à sa démarche
Le dilemme pour Nekkaz est que s’il veut retrouver sa liberté, il se doit d’abandonner « son projet de marche et de rassemblement à Alger dans ce contexte politique tendu » déclare-t-il sur sa page Facebook. Mais bien évidemment, notre « Zorro du Niqab » converti en « Défenseur des Algériens » ne cèdera pas, il est dit sur sa page officielle :
Etant un homme de principe et de conviction il ne cèdera pas.
Rachid Nekkaz a subi de nombreux échecs en politique que ce soit en France ou en Algérie récemment. Mais ce dernier ne s’avoue pas vaincu et continue à se battre pour -peut-être- un jour avoir cette fameuse place en politique.