Un émissaire marocain a été envoyé à Alger pour trouver des solutions face au terrorisme.
Une rencontre inespérée
Le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal a reçu vendredi à Alger l’envoyé spécial du Roi du Maroc, porteur d’un message du souverain marocain au président Abdelaziz Bouteflika. L’accent a été particulièrement mis sur la sécurité régionale, notamment la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé, les questions liées à la migration et la problématique du développement.
L’union fait la force
Abdelaziz Bouteflika s’est félicité du dialogue politique entre les deux pays. Ainsi, le terrorisme qui n’a apporté que sang et souffrance a quand même apporté du positif : deux états depuis longtemps en froid se rapprochent timidement pour tenter de lutter ensemble contre ce fléau.
2 commentaires
ce pas est vraiment géniale car l’union fait la force ensemble on peut fait beaucoup de chose. La lutte contre le terrorisme c’est un fléau international qu’il faut battre et lutter contre ,mais cette lutte ne pourra pas être fruiteux ci ce n’est pas avec l’accord des autorités des pays sur le plan national, régional voire international. c’est pourquoi je qualifie ce pas de génialité. merci que Dieu bénisse ce pas
le terrorisme rapproche alger à rabat ? naïveté absolue que cela, certes c’est un fléau, alger est pour le terrorisme, sous différentes formes. Pour mémoire, voir son aide a certains terroristes depuis l’angola, le mozambique, l’aide a hissen habré, au fameux Carlos et j’en passe, son implication dans les attenttats du RER de Saint Michel à Paris et autres coups assez grossiers par leurs méthodes, pour ne citer que le couop de ces pieds nickelés de l’hôtel Hasni en 95 a Marrakech qui suivi d’une fermeture de frontière sine die. Helas, comment appeler sinon terroriste ce polisario qui a été installé, armé et surtout habillé de la tenue verte olive, tenue officielle de l’ANP par boumedienne durant 41 ans et cela pour combattre l’armée marocaine et ce fameux terrorisme politique nourrit et échafaudé tout azimut durant cette même durée, chaque fois qu’un représente d’un pays débarque à alger ou qu’alger siège a une quelconque réunion internationale, exigeant de certains et non des moindres d’une coupure de toutes relations avec le son « cher » voisin « si aimé ». Il a bien réussit ce petit Maroc si méprisé par l’algérie du fait d’être un royaume qui aux yeux d’alger serait chose désuète et n’a plus cour, comme si les autres royaumes, de l’Angleterre, Danemark Suède à l’Arabie etc. devaient au bon vouloir et au gout des algériens, devenir des républiques