Entre les perquisitions abusives, les arrestations sans raisons et les assignations à résidence qui n’en finissent plus, l’état d’urgence est devenu le parfait alibi pour justifier les déboires de l’Etat.
Une histoire d’injustice… parmi tant d’autres
Taher est l’une des nombreuses victimes de « l’après 13 novembre » qui doit pointer 3 fois par jour au commissariat depuis le 16 novembre parce qu’il est assigné à résidence, sans raisons valables. Les faits qui lui sont reprochés ne sont que des soupçons et aucune preuve n’a été apportée contre lui, pourtant, Taher a « l’impression de passer sa vie au commissariat. »
Son témoignage n’est qu’un témoignage parmi de nombreux autres qui prouvent les dérives de la France qui s’enfonce de jour en jour dans son islamophobie maladive, sous le regard complice de ceux qui prétendent défendre une liberté qui est devenue une illusion dans le pays des droits de l’Homme.