A quelques jours des résultats français concernant la reconnaissance d’un Etat palestinien, Nicolas Sarkozy prononce un discours pour le moins… clair.
Israël, le combat de sa vie
C’est le 25 novembre dernier, à Boulogne-Billancourt, que l’ancien président de la république exprimait son mécontentement concernant l’affaire en déclarant : « Je suis étonné de ce qu’il va se passer dans quelques jours où une résolution du parti socialiste voudrait faire reconnaître de façon unilatérale l’Etat palestinien… quelques jours après les attentats odieux et sanglants de Jérusalem » et demande à ses amis de ne pas voter « pour » (pas trop déçu j’espère ?). Il poursuit son discours en promettant « se battre pour que les Palestiniens, un jour, aient leur Etat » et ne manque -évidemment- pas de critiquer le fait qu’il n’y ait « aucun processus de discussion de paix ». Mais M. Sarkozy reste honnête et « il doit sa vérité » :
« Je n’accepterais jamais que l’on remette en cause le droit à la sécurité d’Israël… jamais. C’est le combat de ma vie ! »
C’est dit. Avec des centaines de meurtre et plus de 75 000 victimes (majeures seulement) de viols chaque année en France, il est évident pour M. Sarkozy que la sécurité d’un « Etat » terroriste prime sur celle de son pays… Entre un ancien (futur?) président de la République qui fait du combat de sa vie la sécurité d’Israël, et un premier ministre « lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël »… vive la France aux Français !
https://www.youtube.com/watch?v=oHhJ3hQR_Ew