D’année en année, la Chine semble faire preuve de plus d’imagination dans la persécution des Ouïghours. Après les employés et les enseignants, c’est à présent aux élèves de payer le prix fort de l’islamophobie qui règne dans cette partie du pays.
Pas d’interruption (du jeûne), pas de diplôme
De nombreuses photos ont circulé ces dernières semaines, prouvant les unes après les autres l’injustice consternante que subissent principalement les habitants du Xinjiang en ce mois de Ramadhan. Cette année encore, les musulmans chinois, empêchés de jeûner, trouvent de grandes difficultés à vivre sereinement ce mois de paix et de miséricorde.
Les forcer à boire de l’eau semblait être une pratique dépassée… Des enseignants ont alors du trouver une méthode un peu plus cruelle : à l’Université de médecine à Urumqi, au Xinjiang, une distribution de pastèques a eu lieu en pleine journée afin de forcer les étudiants musulmans à interrompre leur jeûne; et celui qui refusait de se soumettre à cette consigne se retrouvait menacé de se faire retirer son diplôme.
Des pratiques immorales qui rendent la vie des musulmans chinois de plus en plus difficile. Les habitants du Xinjiang -région de Chine qui compte 45 % d’Ouighours- sont de plus en plus intensément victimes d’islamophobie maladive mais qui, visiblement, n’interpelle pas grand monde.
1 commentaire
kon les oblige a jeuner dans nos pays musluman
ces chinois