Une honte, une véritable honte… pas d’autre mot à la hauteur. Honte à cet homme qui était un « symbole » pour le football français et au-delà, un homme d’éthique qui a su dire « NON » aux crimes inqualifiables que commettaient Israël.
Retour en arrière…
En septembre 2010, Michel Platini, en menaçant Israël de sanction était apparu aux yeux des personnes encore dignes, comme un porte-parole. A l’époque, il menaçait l’équipe de football israélienne d’exclusion de l’organisation sportive de l’UEFA.
Des paroles en l’air…
Mais que se passe t-il dans la tête du président de l’UEFA? Aujourd’hui, aurait-il zappé ses dires? Aurait-il vendu son âme contre quelque chèque? Il n’en est pas moins un lâche et doublement, un fourbe. Après avoir donné de l’espoir aux nombreux adeptes du ballon rond, qui ne peuvent accepter que l’équipe de Foot Palestinienne puisse littéralement et simplement « NE PAS EXISTER », il revient sur ses propos… ET PIRE! Il agit dans l’autre sens! En effet, il accepte que Israël soit le pays hôte pour organiser en 2013 le Championnat d’Europe des moins de 21 ans. Alors qu’à côté, on tue, on décime et on étouffe la misère que connaissent les Palestiniens depuis des années!
Pendant que certains joueront, d’autres tomberont!
Ne nous voilons plus la face, le monde est sourd. Le monde est cruel. Comment peut-on autoriser un tel décalage? D’un côté une compétition de jeunes, de l’argent, de la joie, du partage, des sourires et de l’autre, un tableau bien morose : des enfants privés de tout droit, même celui de jouer librement! Des familles qui meurent de faim à cause du blocus et des cris que la communauté internationale s’efforce de faire taire!
Nous ne serons pas complices, nous ne tolérerons pas ce genre de crime à ciel ouvert. Si Platini la marionnette veut être un esclave et accepter cette impunité, qu’il le fasse, mais qu’il ne se dise pas touché ou préoccupé par ce qui se passe en terre occupé; et surtout, qu’il ne se prétende pas garant des lois du football vu qu’il ne peut même pas les faire appliquer! Platini, encore un pantin, un de plus… Mais nous aurons bonne mémoire, ne vous inquiétez pas, nous saurons nous en rappeler…