Contactés par des témoins on ne peut plus choqués par un étrange cérémonial dominical, les journalistes du Progrès sont allés enquêter sur les lieux du crime !
Mais que se passe-t-il ?
Ils se sont rendus au stade municipal Juninho situé derrière l’hôpital Edouard-Herriot dans le 3ème arrondissement de Lyon. Un terrain utilisé par qui le souhaite afin de venir taper dans le ballon entre copains. C’est au bout de trois longues heures d’attente en ce 21 octobre, que les journalistes sont témoins de l’impensable, l’inimaginable en cette sacro-sainte terre laïque, des hommes se sont mis à PRIER ! Les enquêteurs témoignent :
Vers 13 h 30, le match à rallonge s’interrompt. Commence alors une scène incroyable. L’un des joueurs, barbu, enfile une djellaba, suivi par six autres, dont la moitié porte une barbe fournie. Le meneur se place sous la cage de foot, côté est du terrain. Il dirige une prière musulmane, sous les poteaux de la cage utilisée comme le mihrab d’une mosquée – cette niche qui indique la direction de La Mecque. Les prosternations durent une dizaine de minutes. Les hommes, âgés d’une trentaine d’années et venant aussi bien du 8 e que du 3 e arrondissement, alternent positions debout et accroupi, sur la pelouse transformée en tapis de prière. Puis, leur tache accomplie, ils regagnent le banc de touche pour une séance d’étirements ; cette fois-ci. D’autres joueurs musulmans, âgés d’une trentaine d’années, arrivent en voiture, à l’extérieur du stade. Assis dans leur véhicule, ils sont en train de mettre leurs chaussures à crampons. Ils portent également la djellaba et une barbe fournie.
Pourtant le voisinage les avait prévenus, ils savaient à quoi et à qui ils auraient à faire :
On a vu des musulmans prier ! Ça se passe tous les dimanches, depuis au moins trois semaines et ça se répète plusieurs fois dans l’après-midi. Parfois, ils sont dix, parfois quinze, parfois cinq. C’est choquant. C’est pas marqué « lieu saint », ici, c’est marqué « stade municipal » ! On vit ça comme une provocation !
Allo… la police
Les journalistes ont étés à la rencontre de ces musulmans qui se sont expliqués « sans agressivité » n’oublie pas d’indiquer le rédacteur, comme si d’habitude les musulmans sautaient à la gorge de quiconque viendrait leur adresser la parole. Bien triste réalité que ce fait divers. Aujourd’hui, à la vue de quelques barbus sportifs on appelle les journaux demain on risquera d’appeler la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI), voire même le GIGN. Le gouvernement peut se réjouir, comme ils scandaient dans leur propagande d’élection « le changement c’est maintenant », par contre pour le vivre ensemble on repassera.
Source : Le Progrès
3 commentaires
L’ignorance est pardonnée, lol…
L’article date de 2008…quand même.
Sur ce coup la ils ont raison. C’est un stade et ne pas une mosquée. À force d afficher sa foie partout et nimporte ou ben les gens nous deteste